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Abstract
Aujourd’hui, dans le secteur de la construction, une place d’apprentissage sur trois reste vacante. Les interruptions d’apprentissage et un taux d’échec élevé aux examens de fin d’apprentissage sont d’autres facteurs qui pénalisent ces métiers. L’association de la technique du bâtiment suissetec recherche actuellement de nouvelles solutions. Les coûts s’élèvent à plus d’un million de francs par an.