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Abstract
Peu de lois ont déclenché autant d’innovations que la loi sur la formation professionnelle du 1er janvier 2004. Elle a éliminé de nombreux problèmes et élevé la formation professionnelle suisse à un niveau supérieur. Mais même la meilleure des lois devrait être évaluée après les premières expériences et faire l’objet d’un développement continu. Il est regrettable pour l’avenir de la formation professionnelle que ce ne soit pas le cas ici. Ceci nuit entre autres aux jeunes particulièrement doués, mais aussi aux apprenantes et apprenants plus faibles.